C’est différent si je bivouaque dans la basse montagne à quelques minutes de marche de la route/restaurant suivant – ou en hauteur, où une longue descente peut me séparer de la vallée ou de la prochaine cabane. C’est pourquoi, dans les Alpes, le bivouac/séjour d’une nuit loin des commodités civilisées est généralement toléré. Dans les Pyrénées, par exemple, il existe une règle d’une heure : si vous êtes à plus d’une heure de marche de la route la plus proche, le bivouac est généralement autorisé.
Conclusion sur le bivouac : « La prudence est la mère de la boîte en porcelaine.
Comme pour beaucoup d’autres choses, le bivouac dépend aussi, en fin de compte, de la façon dont vous vous comportez en plein air. Un bivouac dans les hautes montagnes, où tous les héritages naturels/en rapide décomposition disparaissent, ne dérangera personne non plus à l’avenir. Toutefois, si l’on se met soi-même et/ou autrui en danger par négligence grave, par exemple en cherchant un bivouac, un bivouac peut rapidement devenir une entreprise dangereuse. Si vous ignorez les réglementations locales et que vous vous comportez de manière négligente envers la nature et les autres habitants de la montagne, les amendes parfois très douloureuses peuvent être considérées comme justifiées.